Parmi 291 accessions testées de la patate douce cultivée, contiennent tous un ou plusieurs ADN de transfert (ADN-T) séquences. Ces séquences, qui figurent à être exprimé dans un clone de la patate douce cultivée ("Huachano") qui a été analysé en détail, suggérer qu'un Agrobacterium l'infection a eu lieu à l'époque de l'évolution. L'un des ADN-T est apparemment présente dans tous les clones de patates douces cultivées, mais pas chez les parents sauvages étroitement liés de la culture, ce qui suggère l'ADN-T a fourni un trait ou des traits qui ont été sélectionnés au cours de domestication. Cette découverte attire l'attention sur l'importance des interactions plantes-microorganismes, et étant donné que cette culture a été mangé depuis des millénaires, il peut changer le paradigme régissant le statut "non naturelle" des cultures transgéniques.
Pour plus d'informations: PNAS et ScienceNews.
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